Une « gap-year » bien organisée: 3 (ou 4) objectifs à envisager !

Vous voulez mettre toutes les chances de votre côté avant d’entamer vos études supérieures ? Une année de césure vous semble être une idée envisageable, mais comment en tirer le meilleur parti ? Que faut-il prévoir pour une « gap-year » bien organisée ?
Pour commencer sur de bonnes bases, nous vous proposons trois objectifs très généraux et simples à identifier:

• Choisir vos études avec des informations éclairées et de la rigueur et une bonne stratégie. Il s’agit bien là de choisir la bonne formation et la bonne université ou école.
• Valider vos examens avec brio
• Réussir votre entrée dans la vie active

Comment atteindre ces objectifs, et que peut (ou que doit) vous apporter une césure ?
Voici quatre éléments auxquels nous pouvons vous préparer

Apprendre une langue étrangère

Comme point de départ, nous vous proposons l’apprentissage ou le perfectionnement d’une langue étrangère. L’objectif n’est pas simplement ludique ou communicationnel, mais bel-et-bien d’ouvrir des portes et de se créer des opportunités, parmi lesquelles:

• Accéder, en partant à l’étranger, à des études très sélectives en France (ex: études de santé, d’architecture…)
• Préparer un Erasmus qui vous permettra d’améliorer, plus tard, votre dossier étudiant (candidature en Master, à un stage…)
• Étudier entièrement à l’étranger pour profiter de meilleures conditions d’études (amphis moins bondés, professeurs à l’écoute de leurs étudiants) et, là encore, améliorer votre dossier
• Étudier à l’étranger pour se construire, plus tard, une carrière internationale

Bien choisir ses études et son université

Préparer ses études

Deux points à considérer: la réalisation d’une « prépa » dans le domaine que vous souhaitez étudier et l’apprentissage de méthodes de travail.
En pratique: une fois identifiées les formations idéales pour vous, votre objectif devrait être la réussite académique de vos études. Pour cela, nous vous proposons trois voies

• Faire quelques semaines ou quelques mois de préparations (aux études médicales par exemple) en langue anglaise ou espagnole
• Apprendre la théorie et surtout mettre en pratique des méthodes de travail pour les études supérieures (MTS)
• Préparer des matières spécifiques pour les PCE afin de pouvoir étudier dans une université publique espagnole (toutes les matières sont envisageables: mathématiques, physique, sociologie,…)

Découvrir et développer ses « soft-skills »

Le sujet est-il simplement une mode venant des États-Unis ou est-il essentiel ? Pensez-vous que les soft-skills soient inutiles, secondaires ou qu’il s’agisse d’un facteur essentiel dans la réussite professionnelle ? Les professions libérales et les indépendants sont ils épargnés ?

Les soft-skills sont parfois présentées en longues listes, parfois regroupées dans trois ou quatre groupes. Quoiqu’il en soit, leur importance respective est relative au poste ou à la profession que vous occuperez. Comprendre les soft-skills (ou compétences transversales) vous permettra de vous dirigez vers des formations et un métier davantage faits pour vous. Une fois devant un recruteur, vous serez en adéquation avec le poste proposé, donc naturel et convaincant.

Une fois ces considérations prises en compte, la découverte et le développement des soft-skills devient un élément essentiel à mettre en place au cours d’une « gap-year » bien organisée. Il s’agit peut-être même du moment idéal, et vous pourrez:

• Découvrir et comprendre les soft-skills
• Mettre en place des activités non-chronophages, soit pour les développer, soit pour les consolider
• Apprendre à les valoriser lors d’un entretien

Si les soft-skills ont été inventées aux États-Unis, les jeunes Américains y sont -ils mieux préparés ?

Ce qui est sûr c’est que l’organisation des études est différente aux États-Unis. Les études s’y font davantage « à la carte », autrement dit, il y a plus de possibilités d’options à choisir pour construire son parcours. A l’université, il est laissé davantage de place aux activités diverses, le sport en tête. Arme à double tranchant, car si cette organisation permet aux étudiants de développer leur individualité, il faut qu’ils arrivent à tout gérer.

Les professions libérales sont elles exemptées de connaître les soft-skills ?

A vous de voir, mais dans la vie, personne ne travaille seul dans son coin. On a toujours des relations avec des clients, des patients, des fournisseurs, des collègues… et il est toujours plus agréable qu’elles se passent bien. Il sera toujours intéressant de savoir écouter et communiquer.

D’autre part, et dans un monde en changement, tous les métiers sont amenés à évoluer. Savoir s’informer et identifier les façons de progresser seront des compétences essentielles pour votre réussite sur le long terme. L’adaptabilité et la capacité doivent donc être des soft-skills à développer pour les professionnels libéraux et indépendants.

Convaincus ?

Contactez-nous, l’organisation de votre année de césure est un élément auquel nous avons pensé dès la mise en place d’ORPESup. Notre objectif n’est pas uniquement de vous permettre d’étudier à l’étranger, mais bien de choisir vos études et de les réussir. Nous vous aiderons à construire le premier point du fil rouge de vos études.

L’année de césure est-elle faite pour vous ?